C’est l’autre mauvaise nouvelle pour l’avenir de l’humanité et du vivant que nous confirme la publication du volet 2 du 6ème rapport du GIEC.
Il serait indécent de le nier : les catastrophes climatiques et leurs conséquences, déjà bien là, iront en s’intensifiant, inexorablement, insidieusement, et nous rendront toujours plus vulnérables, jusqu’au point de non retour, si nous ne changeons rien.
Et il serait d’autant plus indécent de ne rien faire.
Car les solutions existent. Nos petits efforts individuels de sobriété au quotidien produiront les plus grands effets et bénéfices pour le bien de tous sur le long terme.
Alors la suite de l’histoire du monde dépend de nous.
Elle s’écrit maintenant.
Et elle s’appelle «Transition».
Lire le communiqué de presse relatif au rapport 2022 du groupe 2 du GIEC
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